jeudi 2 août 2007

Y a-t-il plus d'urgence à parler d'Honor de Cavalleria que de comparer entre elles les différentes versions de Spiderman ?

Thierry Lounas : Est-ce que tu penses que réellement, il y a plus urgence à parler d'Honor de Cavalleria qu'à dire pourquoi le Spiderman 1 est meilleur que le 2 et le 3 ?

Catherine Bailhache : Oui !

Thierry Lounas : Bah ! Je ne suis pas sûr !

Catherine Bailhache : Mais je ne dis pas qu'il faut faire l'un et pas l'autre.

Thierry Lounas : Pour moi l'urgence est la même.

Catherine Bailhache : C'est très bien. Fais une table ronde sur Spiderman et allons-y, parlons-en !

Thierry Lounas : Si jamais tu parles de tous les films en avance, le jour où sortent tous les films, tu es en train de parler en avance de films qui vont sortir dans six mois. Donc, au bout du compte, tu as six mois de décalage, grosso modo !

(rires)


Catherine Bailhache : Eh ! Emmanuel et toi passez votre temps à vous conduire comme si ce que je vous dis en permanence concernait tous les films ! Chaque fois, vous extrapolez ce que je dis à l'ensemble des films ! Alors que je n’ai jamais dit autre chose que : « Faites-le pour les quelques films dont le marché ne veut pas, dont vous jugez par ailleurs néanmoins qu’ils sont forts artistiquement ! »

Thierry Lounas : Je dis juste par provocation, alors que je suis mal placé pour l’affirmer puisque j'ai sorti le film d'Albert, qu'il ne faudrait pas sans cesse mettre des béquilles aux films fragiles, en considérant que ce sont des films malades en fait !

Catherine Bailhache : Je ne pense pas que ce soient des béquilles.